À propos de moi…

Derrière chaque symptôme, il y a une histoire.
Une tentative d’adaptation, de survie, parfois un cri silencieux.
Mon travail consiste à écouter cette histoire autrement — à travers ce qui se dit… et ce qui ne se dit pas encore.
Je suis psychologue clinicien depuis plus de vingt ans. Dix-huit de ces années, je les ai passées en service de psychiatrie, à rencontrer des histoires de vie marquées, parfois fracturées, souvent puissantes. Ces échanges m’ont offert une plongée profonde dans l’humain, dans toute sa complexité, sa vulnérabilité, mais aussi sa capacité de transformation.
Avec le temps, j’ai ressenti le besoin d’un cadre plus souple, plus vivant. Pour travailler vraiment au plus près de l’humain, il fallait pouvoir s’adapter aux singularités, accueillir les silences autant que les mots. Le cabinet libéral s’est imposé comme une évidence : un lieu où le soin peut se faire dans le respect du rythme de chacun.
Mon approche est Ericksonienne, dans le fond comme dans la forme.
Je crois que chaque être humain porte en lui les ressources dont il a besoin pour avancer — parfois ensevelies, parfois étouffées, mais jamais absentes. L’hypnose peut être mobilisée dans ce cadre, mais elle ne constitue qu’un outil parmi d’autres, toujours au service du processus thérapeutique.
Mon travail s’enrichit également d’apports issus de la thérapie systémique, de la psychanalyse humaniste et Jungienne, ainsi que de l’approche centrée sur la personne. J’aime penser qu’aucune grille ne peut contenir à elle seule la complexité d’un être.
J’accompagne exclusivement des adultes, en individuel ou en couple, dans des périodes de vulnérabilité, de crise ou de transition : troubles anxieux, dépression, burn-out, traumatismes, addictions, troubles du comportement alimentaire, difficultés affectives, questionnements identitaires ou sexuels.
Ce que je propose n’est pas une méthode, ni une promesse de solution rapide.
C’est un espace vivant, où se dire autrement devient possible.
Un lieu pour se retrouver, se comprendre…
Et parfois, commencer à se transformer.
Parce qu’il n’y a pas de solution universelle.
Mais il y a des chemins singuliers.
Et des endroits où l’on peut recommencer à marcher.
Jean-Jacques F.